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Salon virtuel, tourisme durable


Rédigé le Vendredi 1 Mars 2019 à 07:00 | Lu 321 fois modifié le Jeudi 28 Février 2019


Salon virtuel, tourisme durable
La Réunion a participé à la première édition du salon virtuel du tourisme durable organisé par le site Internet Destinations durables. Ce salon, dont le thème était “A la rencontre des îles de l’océan Indien ” et qui se voulait le rendez-vous des professionnels du tourisme responsable, a permis à tous les exposants représentant d’une destination touristique de rencontrer des agents de voyages internationaux sans avoir à se déplacer. Plus de 45 000 agents de voyage en Europe et en Amérique du Nord étaient représentés. La destination Réunion a été représentée à travers l’axe du tourisme vert, de l’écotourisme et de la préservation de la biodiversité.

Écocité, outil du développement durable

Salon virtuel, tourisme durable
L’État, le Territoire de la Côte Ouest (TCO), le Conseil Régional, le Conseil Départemental et les communes de La Possession, du Port et de Saint-Paul ont créé un nouvel outil commun de pilotage : le GIP Écocité La Réunion, qui remplace l’Ecocité du Territoire de la Côte Ouest et reste la seule Écocité ultramarine, insulaire et tropicale. Cet outil ambitionne de répondre concrètement aux besoins nouveaux du territoire et des Réunionnais dans un contexte de changement climatique : développement des transports en commun, construction de logements, création d’emplois, amélioration du cadre de vie, mise en oeuvre d’une agriculture urbaine, préservation des ressources naturelles, maîtrise et diversification de l’énergie, recyclage des déchets...

Mise au point écolo

Salon virtuel, tourisme durable
Brune Poirson, la secrétaire d’État auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire, a rencontré les patrons des principales chaînes de fast-food français pour leur rappeler leurs obligations en matière de gestion des déchets et leur fixer un calendrier d’action précis. Ces professionnels ont en effet l’obligation de trier 5 types de déchets : papier/carton, métal, plastique, verre et bois (à ce tri 5 flux, s’ajoute un autre tri, celui des biodéchets alimentaires). Le secteur de la restauration rapide génère à lui seul plus de 180 000 tonnes de déchets d’emballages par an, mais aussi plus de 60 000 tonnes de déchets alimentaires. Brune Poirson a prévenu : “Le tri est l’hygiène environnementale. En lien avec les élus locaux, nous serons intransigeants dans la mise en oeuvre des sanctions administratives et pénales prévues par la loi en cas de manquements”.

Un mois sans supermarchés ?

Salon virtuel, tourisme durable
Après le Lundi vert qui incitait à ne consommer ni viande ni poisson le lundi, une nouvelle initiative s’attaque à nos modes de consommer. Né en Suisse voilà déjà trois ans, le défi “ Un février sans supermarché ” a gagné les pays européens et séduit les Français réceptifs aux discours sur les alternatives locales, durables et responsables. L’idée est en effet d’éviter autant que possible les grandes surfaces et de privilégier les commerces indépendants, les épiceries de quartier et les petits producteurs locaux.


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