Déjà accusée il y a quelques mois d'avoir caché des dizaines de millions d'euros dans des paradis fiscaux en envoyant l'argent de ses droits d'auteur dans des comptes bancaires cachés à Malte, Shakira fait aujourd'hui à nouveau les gros titres pour une nouvelle affaire liée à ses finances.
Le fisc espagnol accuse la chanteuse d’avoir fraudé entre 2011 et 2014 et a menacé la chanteuse colombienne d'engager des poursuites contre elle pour fraude fiscale selon les informations du quotidien barcelonais La Vanguardia. L’affaire porterait sur plusieurs dizaines de millions d’euros.
Ce qui est reproché à Shakira est sa résidence fiscale et elle va devoir s'en expliquer. Le fisc reproche à la chanteuse de n'être devenue résidente fiscale espagnole qu'en 2015, alors qu'il était connu depuis quatre ans déjà, qu'elle avait une relation avec Gérard Piqué, et qu'elle habitait en Espagne. Car pour le fisc espagnol, l'importance de la résidence fiscale est de taille : la loi exige que le contribuable résidant en Espagne paye des impôts sur le revenu, en Espagne, pour ce qui est de ses revenus perçus dans le monde entier. Si la personne n'est pas résidente fiscale espagnole, elle n'est pas tenue de déclarer au fisc espagnol ce qu'elle a gagné dans le monde entier, simplement ce qu'elle a perçu en Espagne.
Comme le souligne La Vanguardia, le taux d'imposition est différent et, Shakira n'ayant pas été résidente fiscale espagnole durant ces trois à quatre années, elle n'a été imposée qu'à hauteur de 24%.
Du côté du clan de la star, on se défend en expliquant qu'« Il s’agit d’une différence de critères, et non de dissimulation fiscale », ont indiqué à La Vanguardia des sources de l’entourage de Shakira, évoquant un « différend technique » que la chanteuse est prête à régler.
Le parquet doit maintenant décider s’il engage ou non ces poursuites pénales. La chanteuse risquerait jusqu'à deux ans de prison.
Le fisc espagnol accuse la chanteuse d’avoir fraudé entre 2011 et 2014 et a menacé la chanteuse colombienne d'engager des poursuites contre elle pour fraude fiscale selon les informations du quotidien barcelonais La Vanguardia. L’affaire porterait sur plusieurs dizaines de millions d’euros.
Ce qui est reproché à Shakira est sa résidence fiscale et elle va devoir s'en expliquer. Le fisc reproche à la chanteuse de n'être devenue résidente fiscale espagnole qu'en 2015, alors qu'il était connu depuis quatre ans déjà, qu'elle avait une relation avec Gérard Piqué, et qu'elle habitait en Espagne. Car pour le fisc espagnol, l'importance de la résidence fiscale est de taille : la loi exige que le contribuable résidant en Espagne paye des impôts sur le revenu, en Espagne, pour ce qui est de ses revenus perçus dans le monde entier. Si la personne n'est pas résidente fiscale espagnole, elle n'est pas tenue de déclarer au fisc espagnol ce qu'elle a gagné dans le monde entier, simplement ce qu'elle a perçu en Espagne.
Comme le souligne La Vanguardia, le taux d'imposition est différent et, Shakira n'ayant pas été résidente fiscale espagnole durant ces trois à quatre années, elle n'a été imposée qu'à hauteur de 24%.
Du côté du clan de la star, on se défend en expliquant qu'« Il s’agit d’une différence de critères, et non de dissimulation fiscale », ont indiqué à La Vanguardia des sources de l’entourage de Shakira, évoquant un « différend technique » que la chanteuse est prête à régler.
Le parquet doit maintenant décider s’il engage ou non ces poursuites pénales. La chanteuse risquerait jusqu'à deux ans de prison.