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De plus en plus répandue, la voiture sans permis offre de nombreux avantages : elle consomme peu, se gare facilement en ville, protège des intempéries et permet de contourner en toute légalité l’onéreux permis de conduire. Plus sécurisante qu’un deux-roues, la voiturette est donc en passe de devenir le véhicule idéal pour se déplacer en milieu urbain.
UNE MODÈLE PRATIQUE
Une voiture sans permis, c’est une petite auto dont la carrosserie est composée de fibres légères, qui comprend seulement deux places, comporte une charge utile de 250 kg maximum, est équipée d’un moteur d’une puissance maximale de 6 kW et ne peut pas dé- passer les 45 km/ h. La boîte de vitesses est automatique et le moteur fonctionne généralement au diesel, mais peut être électrique. Sa consommation est donc peu élevée. Outre le modèle « berline », ces mini-voitures sont déclinées sous plusieurs formes : camionnettes, buggys, cabriolets... Côté prix, il faut toutefois compter minimun 18 000 € voir plus pour du neuf. L’occasion peut être un bon compromis car les frais d’entre- tien sont raisonnables. L’option location peut sinon être intéressante.
LE BSR SUFFIT
Étant donné sa vitesse, la voiture sans permis est idéale pour les villes et routes de campagne. Il est cependant formellement interdit de circuler sur autoroutes, périphériques et autres voies rapides. Du point de vue de la réglementation, ce « quadricycle léger à moteur » est en effet assimilé au cyclomoteur de moins de 50 cm3. L’avantage, c’est qu’il ne faut ni permis ni code pour conduire une voiturette. Les jeunes peuvent en outre en prendre le volant dès 14 ans. En revanche, ceux qui sont nés à partir de 1988 doivent au moins avoir obtenu leur brevet de sécurité routière (BSR) pour en prendre les commandes. Cela correspond à 8 heures de formation pratique facturées entre 150 € et 400 € dans une école de conduite.
Entre les adolescents qui n’ont pas encore obtenu leur permis et les adultes qui l’ont perdu à la suite d’infractions au Code de la route (dès lors que le juge n’a pas interdit la conduite de tout véhicule à moteur, y compris sans permis), la voiturette séduit donc une clientèle assez large.
LES DOCUMENTS POUR CIRCULER
Si la voiturette dispense d’être titulaire du permis de conduire, vous devez néanmoins réaliser certaines démarches pour avoir le droit de circuler sur la voie publique :
- l’immatriculation : la carte grise est en effet obligatoire. La procédure d’immatriculation est la même que pour une auto classique.
- l’assurance : comme n’importe quel véhicule à moteur, la voiture sans permis doit être assurée au minimum au tiers (garantie responsabilité civile). Les tarifs du marché sont toutefois moins élevés que pour une auto classique, tandis que la clause de bonus-malus ne s’applique pas.
UNE MODÈLE PRATIQUE
Une voiture sans permis, c’est une petite auto dont la carrosserie est composée de fibres légères, qui comprend seulement deux places, comporte une charge utile de 250 kg maximum, est équipée d’un moteur d’une puissance maximale de 6 kW et ne peut pas dé- passer les 45 km/ h. La boîte de vitesses est automatique et le moteur fonctionne généralement au diesel, mais peut être électrique. Sa consommation est donc peu élevée. Outre le modèle « berline », ces mini-voitures sont déclinées sous plusieurs formes : camionnettes, buggys, cabriolets... Côté prix, il faut toutefois compter minimun 18 000 € voir plus pour du neuf. L’occasion peut être un bon compromis car les frais d’entre- tien sont raisonnables. L’option location peut sinon être intéressante.
LE BSR SUFFIT
Étant donné sa vitesse, la voiture sans permis est idéale pour les villes et routes de campagne. Il est cependant formellement interdit de circuler sur autoroutes, périphériques et autres voies rapides. Du point de vue de la réglementation, ce « quadricycle léger à moteur » est en effet assimilé au cyclomoteur de moins de 50 cm3. L’avantage, c’est qu’il ne faut ni permis ni code pour conduire une voiturette. Les jeunes peuvent en outre en prendre le volant dès 14 ans. En revanche, ceux qui sont nés à partir de 1988 doivent au moins avoir obtenu leur brevet de sécurité routière (BSR) pour en prendre les commandes. Cela correspond à 8 heures de formation pratique facturées entre 150 € et 400 € dans une école de conduite.
Entre les adolescents qui n’ont pas encore obtenu leur permis et les adultes qui l’ont perdu à la suite d’infractions au Code de la route (dès lors que le juge n’a pas interdit la conduite de tout véhicule à moteur, y compris sans permis), la voiturette séduit donc une clientèle assez large.
LES DOCUMENTS POUR CIRCULER
Si la voiturette dispense d’être titulaire du permis de conduire, vous devez néanmoins réaliser certaines démarches pour avoir le droit de circuler sur la voie publique :
- l’immatriculation : la carte grise est en effet obligatoire. La procédure d’immatriculation est la même que pour une auto classique.
- l’assurance : comme n’importe quel véhicule à moteur, la voiture sans permis doit être assurée au minimum au tiers (garantie responsabilité civile). Les tarifs du marché sont toutefois moins élevés que pour une auto classique, tandis que la clause de bonus-malus ne s’applique pas.