À 46 ans, Fabrice Éboué se sent complètement dépassé. Notre époque le laisse perplexe... Après avoir littéralement dézingué le véganisme dans son film "Barbaque", le voici de retour sur scène pour son cinquième one-man-show intitulé "Adieu Hier". Toujours aussi corrosif, l'ancien pensionnaire du Jamel Comedy Club règle ses comptes avec les réseaux sociaux, le militantisme exacerbé, la Cancel Culture... et plus largement avec la bêtise humaine. Alors, était-ce vraiment mieux avant ? La réponse dans "Adieu Hier".
Fabrice Éboué nous invite à réfléchir sur le temps qui passe, sur les changements qu'il a observés depuis ses débuts à l'âge de 20 ans jusqu'à aujourd'hui, à presque 46 ans. Il évoque également le fossé générationnel creusé par la révolution numérique, se sentant parfois plus proche d'un homme de 90 ans que d'un adolescent de 16 ans. Si la nostalgie est présente, Fabrice Éboué ne prétend pas pour autant que c'était mieux avant. Notre monde évolue très (trop) rapidement, sous le règne du jeunisme, ce qui rend parfois difficile de suivre le rythme.
La jeune génération serait-elle aussi plus fragile que celle de Fabrice Eboué ?
L’homme partage sa réflexion : "Je ne sais pas, mais elle évolue dans un environnement plus cadré que le mien. J'ai un enfant de huit ans, je sais de quoi je parle. Il y a cette anecdote où je compare nos façons respectives d'apprendre à rouler à vélo : moi, sans casque ni coudières, et lui, surprotégé, comme enveloppé dans du papier bulle ! Au-delà de cela, il y a des avertissements partout aujourd'hui, que ce soit sur les jouets ou les menus des restaurants, jusqu'à une certaine aseptisation de notre société. La prévention est importante, mais il ne faut pas que cela devienne un diktat, entraînant une restriction des libertés."
Fabrice Éboué nous invite à réfléchir sur le temps qui passe, sur les changements qu'il a observés depuis ses débuts à l'âge de 20 ans jusqu'à aujourd'hui, à presque 46 ans. Il évoque également le fossé générationnel creusé par la révolution numérique, se sentant parfois plus proche d'un homme de 90 ans que d'un adolescent de 16 ans. Si la nostalgie est présente, Fabrice Éboué ne prétend pas pour autant que c'était mieux avant. Notre monde évolue très (trop) rapidement, sous le règne du jeunisme, ce qui rend parfois difficile de suivre le rythme.
La jeune génération serait-elle aussi plus fragile que celle de Fabrice Eboué ?
L’homme partage sa réflexion : "Je ne sais pas, mais elle évolue dans un environnement plus cadré que le mien. J'ai un enfant de huit ans, je sais de quoi je parle. Il y a cette anecdote où je compare nos façons respectives d'apprendre à rouler à vélo : moi, sans casque ni coudières, et lui, surprotégé, comme enveloppé dans du papier bulle ! Au-delà de cela, il y a des avertissements partout aujourd'hui, que ce soit sur les jouets ou les menus des restaurants, jusqu'à une certaine aseptisation de notre société. La prévention est importante, mais il ne faut pas que cela devienne un diktat, entraînant une restriction des libertés."
3 dates :
Teat de Champ Fleuri - le jeudi 11 avril 2024
Teat Plein Air - le vendredi 12 avril 2024
Teat Luc Donat - le samedi 13 avril 2024.
Vous pouvez réserver vos places sur les sites de monticket.re et web.digitick.com.
Teat de Champ Fleuri - le jeudi 11 avril 2024
Teat Plein Air - le vendredi 12 avril 2024
Teat Luc Donat - le samedi 13 avril 2024.
Vous pouvez réserver vos places sur les sites de monticket.re et web.digitick.com.