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« Porter et met’ la Réunion en l’air », tel est le mort d’ordre de l’Union des Trans- formateurs Agroalimentaires de la Réu- nion » qui a vu le jour en août dernier. Son président Cédric Dally se veut opti- miste quant à l’avenir de cette nouvelle structure qui réunit ( pour l’heure) une quarantaine d’adhérents. Il a présenté son équipe et défini les grandes lignes de ses actions lors d’une conférence de presse sur les hauteurs du Guillaume à Saint-Paul.
En 1979, c’est à partir d’un groupe de travail qu’ont été posés les premiers ja- lons de l’UTR, sous l’impulsion de la sec- tion artisanat de la CPME de la Réunion. Le premier objectif de l’UTAR est d’être représenté au sein des institutions où sont arrêtées les décisions majeures en ma- tière d’évolution du métier de la transfor- mation. « Nous viendrons en appui aux chambres consulaires afin d’orienter les décisions qui profiteront au plus grand nombre.
La voix du petit transformateur doit aussi peser dans la balance... A la Réunion, le secteur de la transformation agroalimentaire artisanale représente plus d’un millier d’unités de production . Notre objectif passe par la motivation de nos agriculteurs, la poursuite du travail déjà engagé en matière d’innovation mais également le souci de viser en per- manence la qualité en proposant des produits de niches dits d’excellence », a notamment souligné Cédric Dally qui a eu l’occasion de présenter ses collabora- teurs du Comité Directeur de l’UTR.
Forces et faiblesses ...
La filière de la transformation agroali- mentaire représente plus d’un millier de structures de tailles diverses installées aux quatre coins de la Réunion, avec ses
forces ( la quantité des installations, la volonté affichée de valoriser leurs pro- duits..) et ses faiblesses ( sous représen- tation auprès des autorités dédiées, les coûts élevés des productions, le manque de statistiques...), sachant que l’agricul- ture péï produit chaque année 46 000 tonnes de fruits et 60 000 tonnes de légumes.
A l’issue du discours de Eric Leung, pré- sident de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de la Réunion (CPME) et les témoignages de trois ad- hérents de l’UTAR , les participants ont partagé ensemble le buffet des produits locaux, sublimés par le chef-cuisinier Nicolas Rivière.
Roland CHANE
En 1979, c’est à partir d’un groupe de travail qu’ont été posés les premiers ja- lons de l’UTR, sous l’impulsion de la sec- tion artisanat de la CPME de la Réunion. Le premier objectif de l’UTAR est d’être représenté au sein des institutions où sont arrêtées les décisions majeures en ma- tière d’évolution du métier de la transfor- mation. « Nous viendrons en appui aux chambres consulaires afin d’orienter les décisions qui profiteront au plus grand nombre.
La voix du petit transformateur doit aussi peser dans la balance... A la Réunion, le secteur de la transformation agroalimentaire artisanale représente plus d’un millier d’unités de production . Notre objectif passe par la motivation de nos agriculteurs, la poursuite du travail déjà engagé en matière d’innovation mais également le souci de viser en per- manence la qualité en proposant des produits de niches dits d’excellence », a notamment souligné Cédric Dally qui a eu l’occasion de présenter ses collabora- teurs du Comité Directeur de l’UTR.
Forces et faiblesses ...
La filière de la transformation agroali- mentaire représente plus d’un millier de structures de tailles diverses installées aux quatre coins de la Réunion, avec ses
forces ( la quantité des installations, la volonté affichée de valoriser leurs pro- duits..) et ses faiblesses ( sous représen- tation auprès des autorités dédiées, les coûts élevés des productions, le manque de statistiques...), sachant que l’agricul- ture péï produit chaque année 46 000 tonnes de fruits et 60 000 tonnes de légumes.
A l’issue du discours de Eric Leung, pré- sident de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de la Réunion (CPME) et les témoignages de trois ad- hérents de l’UTAR , les participants ont partagé ensemble le buffet des produits locaux, sublimés par le chef-cuisinier Nicolas Rivière.
Roland CHANE