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Compenser la perte des terres agricoles


Rédigé le Samedi 22 Septembre 2018 à 16:00 | Lu 172 fois modifié le Jeudi 20 Septembre 2018


Compenser la perte des terres agricoles
Comment faire pour endiguer - ou du moins compenser - la perte des terres agricoles à La Réunion ? Alors que l’île a perdu 18% de sa surface agricole en 25 ans, un groupement d’intérêt public (GIP) Île de La Réunion Compensation vient d’être créé par l’État, le Conseil régional, le Conseil départemental et la Société d’aménagement foncier et d’établissement rural (SAFER). But de l’opération : proposer aux porteurs de projets consommateurs de terres agricoles des opérations de compensation financées par un fonds spécifique. Autrement dit, “préserver le potentiel de production de l’agriculture réunionnaise” en valorisant notamment les terres en friche. Les projets d’aménagement qui impactent une surface de plus d’un hectare seront concernés.

Compenser la perte des terres agricoles
Changement climatique : deux ans pour réagir
Le monde a deux ans pour agir contre le changement climatique, sauf à affronter des “conséquences désastreuses”, a averti le chef de l’ONU, Antonio Guterres. “Si nous ne changeons pas d’orientation d’ici 2020, nous risquons (...) des conséquences désastreuses pour les humains et les systèmes naturels qui nous soutiennent”, a-t-il déclaré. “Il est impératif que la société civile demande des comptes aux dirigeants”, le monde faisant “face à une menace existentielle directe” et au plus grand défi de l’époque.
“Le changement climatique va plus vite que nous, nous devons arrêter la déforestation, restaurer les forêts détériorées et changer notre manière de cultiver”. Il faut revoir “la manière de chauffer, de refroidir et d’éclairer nos bâtiments pour gaspiller moins d’énergie”, a-t-il encore ajouté. C’est aussi à chacun de nous d’agir à notre échelle.

Compenser la perte des terres agricoles
Nager avec les baleines
Face à la polémique liée au tourisme excessif autour de la baleine à La Réunion, le photographe Sébastien Pontoizeau rappelle que comme pour toute activité, “le bien-être de l’animal doit primer. L’encadrement par des professionnels n’est pas que recommandé mais est une nécessité.” Il rappelle au pas- sage qu’une Charte d’approche des cétacés existe, et doit être respectée. Et de rajouter : “pour ceux qui le peuvent n’hésitez pas à réaliser de manière respectueuse ce rêve de nager avec les baleines (...) Lorsque l’encadrement est réalisé de manière intelligente, il permet de sensibiliser le grand public à la préservation des éco-systèmes, voire à la création de sanctuaires providentiels pour eux (moratoires internationaux, parcs protégés, aide au développement de l’espèce, etc)”.


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