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Du bioéthanol comme moteur


Rédigé le Vendredi 3 Mai 2019 à 07:00 | Lu 325 fois modifié le Samedi 4 Mai 2019


Du bioéthanol comme moteur
Albioma, le producteur d’énergie qui fournit près de 45% de l’énergie électrique à La Réunion, vient d’annoncer la mise en service industriel de la première turbine à combustion de pointe qui fonctionne majoritairement (80%) au bioéthanol, issu de la distillation de mélasses de cannes à sucre produit à la distillerie Rivière du Mât. Les 20% restants sont assurés par le gasoil. Située à Saint-Pierre, la turbine de 41 méga Watts est conçue pour démarrer en moins de 7 minutes et accompagne les pointes de consommation.

Déchèterie mobile

Du bioéthanol comme moteur
Le Plateau Saint-Leu teste un nouveau système, la déchèterie mobile : les deuxièmes samedis du mois, de 8 heures à midi, on peut venir déposer, dans une déchèterie mobile sur la place Maxime Laope, ses encombrants, déchets végétaux et déchets d’équipements électriques et électroniques (à l’exception des déchets ménagers, gravats et pneus de véhicule).

Menaces sur la banane et le maïs

Du bioéthanol comme moteur
Le préfet a signé deux arrêtés pour rendre obligatoire l’information des services de la Direction de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Forêt (DAAF) et de la Fédération Départementale des Groupements de Défense contre les Organismes Nuisibles (FDGDON) en cas de suspicion de présence de deux ravageurs : le champignon responsable de la cercosporiose noire du bananier et la chenille légionnaire d’automne, qui affecte principalement les cultures de maïs. Ces ravageurs ont été détectés en 2018 dans les champs.

Deux hôtels éco-labellisés

Du bioéthanol comme moteur
Le Palm Hôtel & Spa et Iloha Seaview Hôtel ont obtenu le renouvellement de la certification « Écolabel Européen – Services d’hébergement touristique » délivré par l’Agence Française de Normalisation (AFNOR). Cette année, les deux hôtels ont dû répondre et respecter un cahier des charges strict, comprenant 67 critères, dont 22 obligatoires et 45 optionnels. Les principaux engagements concernent la réduction des consommations d’eau et d’énergie, et la réduction et le tri des déchets et eaux usées. Les deux établissements ont aussi développé des initiatives personnelles en faveur du développement durable comme la lutte contre le gaspillage alimentaire en remplaçant le buffet du samedi soir par l’installation d’un espace live-cooking au Palm, ou encore la mise en place d’un potager de plantes aromatiques à Iloha, permettant non seulement l’assaisonnement des plats en cuisine, mais également l’élaboration des cocktails au bar et des tisanes proposées au spa.
Les hôtels travaillent déjà sur le renouvellement de leur Certification Écolabel Européen en 2021 avec d’autres objectifs : le développement de la gamme des produits éco-labellisés, la réduction du volume des déchets ménagers ou encore sa revalorisation.

Les arbres péi poussent encore

Du bioéthanol comme moteur
Après une seconde campagne de lutte contre les espèces exotiques envahissantes, les membres du Projet Life+ ont pu dégager 8 hectares dans les hauts de La Grande Chaloupe pour accueillir 27 800 arbres endémiques. Au total, ce sont 48 430 arbres qui auront été plantés dans ce secteur. Par ailleurs, 63 478 arbres de 59 espèces péi qui ont été produits depuis 2016 dans les pépinières partenaires de Life+ ; l’objectif pour 2020 étant d’atteindre les 80 000.


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