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Grâce à l’étude des coulées de lave, des chercheurs de l’Université de La Réunion (en partenariat avec des géologues du laboratoire GeoSciences) ont reconstruit l’histoire végétale
de l’île et les conséquences de l’installation permanente des humains. Parue dans la revue Journal of Ecology et menée par trois chercheurs réunionnais, l’étude nous révèle que
des végétaux imposants produisant des fruits charnus et une faune importante prédominaient sur le territoire de l’île.
« L’île était connue depuis plusieurs siècles avant l’installation des Français en 1665 pour être un garde-manger de premier choix : il y avait par exemple les tortues géantes de Bourbon qui étaient chargées à bord des navires afin d’éviter le scorbut chez les marins. Cette faune s’est malheureusement éteinte
rapidement après le début de la colonisation permanente par l’Homme », apprend-on avec un brin de nostalgie.
de l’île et les conséquences de l’installation permanente des humains. Parue dans la revue Journal of Ecology et menée par trois chercheurs réunionnais, l’étude nous révèle que
des végétaux imposants produisant des fruits charnus et une faune importante prédominaient sur le territoire de l’île.
« L’île était connue depuis plusieurs siècles avant l’installation des Français en 1665 pour être un garde-manger de premier choix : il y avait par exemple les tortues géantes de Bourbon qui étaient chargées à bord des navires afin d’éviter le scorbut chez les marins. Cette faune s’est malheureusement éteinte
rapidement après le début de la colonisation permanente par l’Homme », apprend-on avec un brin de nostalgie.